« Je déteste les plans B », a déclaré A. Schwarzenegger dans un discours que vous devriez prendre à cœur. Pourtant, vous pourriez être tenté… Tenté de ne pas investir toutes vos ressources dans votre projet, dans votre idéal. Vous pourriez penser, « au cas où… » Et finalement, ce sont surtout les peurs des autres qui résonneront en vous, vous poussant à douter de votre projet, de votre motivation, de vos capacités à le réaliser. Partir avec un plan B, c’est partir avec les plus grandes chances… d’ÉCHOUER !!!
Pourtant, un autre grand Homme a dit : « Je ne perds jamais, soit je gagne, soit j’apprends. » N. Mandela, mais beaucoup comprennent : « Recherchez l’échec, car à force d’échec, vous réussirez. »
ATTENTION SPOILER : ÉCHOUER N’EST PAS UNE OPTION !!!
C’est une conséquence, une conséquence d’un projet en construction, mais l’objectif n’est pas, je le répète, d’échouer. Apprendre de ces échecs, c’est chercher la victoire encore et toujours, et faire en sorte qu’elle soit plus proche à chaque tentative, en améliorant sans cesse les choses.
En vérité, si vous avez un projet qui correspond à votre plan A, vous ne devez en aucun cas envisager l’échec de ce plan A, vous devez simplement anticiper les échecs du plan A.1 pour apprendre et recommencer avec le plan A.2 et ainsi de suite jusqu’à ce que le plan A.x soit enfin parfait.
Prenons un exemple…
Imaginez que vous vous apprêtiez à ouvrir une maison d’hôtes sur la Côte d’Azur (je simplifie, c’est mon exemple), et parce que tout le monde autour de vous (bon, pas tout le monde, c’est vrai, et ils se reconnaîtront, PS : je vous kiffe) vous conseille de travailler à côté de ce projet au cas où cela ne fonctionnerait pas pour ne pas tout perdre. Eh bien, en réalité, vous avez déjà perdu ! Car tout le temps passé dans cet autre emploi, qui de toute façon ne sera pas suffisant financièrement, est autant de temps, d’énergie et d’argent gaspillés. Si vous aviez investi pleinement dans ce projet, il aurait fonctionné plus rapidement, plus efficacement, et vous seriez déjà à la retraite… Dans cet exemple, nous avons réellement eu une chance de réussir lorsque nous avons investi pleinement toutes nos forces dans ce projet, et nous avons alors exploré non pas des plans B, mais des itinéraires BIS : augmenter le prix d’une nuitée, proposer des petits déjeuners, abandonner les petits déjeuners, accueillir des animaux, etc. Mais finalement, ce n’était plus des plans B, mais des itinéraires Bis, conduisant tous à la réussite du projet, qu’il s’agisse d’avenues, d’impasses ou de rues pavées. »
Et vous c’est quoi votre Plan A ?